AGIR

AGIR POUR RETROUVER L’AUTONOMIE DE L’ETAT

 

Quel rôle devrait jouer le monde de la finance ?

Accompagner l'initiative économique en investissant dans le travail, les entreprises et non dans la spéculation, favoriser la croissance durable et non la prédation des ressources naturelles.

Or que constate-t-on ?

Non contentes d’entrainer les états dans des dettes qui les obligent à réduire les dépenses sociales, voilà que par leur avidité les banques ont risqué la faillite obligeant les contribuables à venir sauver les sales gosses d’actionnaires et investisseurs qui ont joué et perdu et refusent de prendre leurs pertes.

Bel exemple qui montre l’incapacité des banques à s’autogérer !

Et plus fort encore !

Les banques ont mis en place des filières qui gèrent des centaines de sociétés-écrans dans les paradis fiscaux ce qui favorise l’évasion fiscale réduisant d’autant les rentrées fiscales de l’État.          

Le juteux business de la pauvreté : Hausse des frais bancaires  par Alexis Poulin sur LCI ici

Après l’incompétence voilà la trahison !

Les détournements des fonds publics via l’évasion fiscale obligent la France à s’endetter et réduire son action sociale.

Voyez cette étude qui démontre que l’évasion fiscale s’élève à 300 Mds d’€/an, dans actu-politique là et le coup de gueule de Jean-Jacques Bourdin ici

Et que demande l’Europe pour résoudre les problèmes de la dette de l’état ?

Des « réformes structurelles », ce qui veut dire ne plus investir dans le social

alors qu’il y a, en France, 300 Mds € d'évasion fiscale ???

Les vraies réformes se trouvent là, dans la chasse à l’évasion fiscale !

L’État dispose bien d’un service de lutte contre les circuits financiers clandestins et autres fraudes fiscales : Tracfin ici et là mais qui n’a qu’un effectif de 160 personnes (en 2018).

160 personnes pour récupérer des sommes aussi considérables est-ce suffisant ? Finances publiques ici

Comment un tel désordre a-t-il pu s’installer

Voyez cette étude ici : Une synthèse d’une très grande richesse d’informations qui peut vous être utile.    

Tout est dans la puissance des lobbies de la finance qui, au fil de dizaines d’années, ont placé à des postes stratégiques des hommes qui leur sont tout dévoués.

En 1970, on trouve Georges Pompidou un ancien directeur général de la Banque Rothschild, qui a aidé au démantèlement du circuit du trésor et favorisé les emprunts de l’état auprès des marchés financiers.

Plus près de nous, au parlement Européen, Mario Draghi ex Vice-président pour l'Europe de Goldman Sachs et ex gouverneur de la Banque d'Italie.

Des députés europeens se laissent corrompre par des lobbies : voir cette vidéo de Médiapart "Osons causer" ici

Est ce que ces hommes sont indépendants ?

Peut-on toucher des milliers voire des millions € d’une société et prendre des décisions qui les désavantageraient ?

Absence du contrôle du non conflit d’intérêts ou laissez faire ?

La question de la dette n’est pas un problème de gestion comptable

mais un choix de société.

Ce choix de société nécessite un contrôle des citoyens

et leur intervention active.

Comment agir ?

En agissant contre la corruption :

           * Au travers d’associations : "Collectifs & associations"

* En interpellant les élus par des tweets, mails, courriers, pétitions ;

Voilà, par exemple, ce qu'une maman a réussi à obtenir en quelques semaines en lançant une pétition : ici

Avec en face d'elle, le lobby de l'industrie pharmaceutique, beaucoup n'auraient même pas essayé !

* Engagez-vous dans le collectif climat pour éviter le chaos climatique et financier  http://climat-2020.eu/ 

   Ecoutez les arguments d’un des signataires de l’appel :

 

ou sur France inter ici. Lire la tribune du collectif là

* Avec : Transparency International   ici

 Le guide pratique du lanceur d’alerte ici

* Avec : Anti cor pour lutter contre la corruption et rétablir l’éthique en politique ici

Je crois que les paroles d’Henry Ford sont toujours d’actualité :

« C’est une chance que les gens de la nation ne comprennent pas

notre système bancaire et monétaire, parce que si tel était le cas,

je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin. »    

Alors informons !

Ne pas agir, ne pas voter,  c’est laisser les autres décider pour vous !

 

 

HAUT DE PAGE